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Mourey
Marie-ThérèseMourey
Professeur d’Histoire littéraire et culturelle du monde germanique
Université Paris-Sorbonne
Directrice de l'EA 3556 REIGENN (Représentations Et Identités. Espaces GErmanique, Nordique et Néerlandophone), ED IV.
Agrégée d'allemand (1986), docteur (1992, Paris IV), Habilitée à Diriger des Recherches (2003, Paris IV). Marie-Thérèse Mourey enseigne la littérature allemande et l'histoire culturelle des pays germaniques à l'université Paris-Sorbonne comme MCF (1993-2006), puis comme PR depuis 2006.
Recherches : littératures de langue allemande, principalement du XVIe au XVIIIe siècle, en contexte européen. Politique, religion et littérature (théâtre, poésie) en Silésie notamment ; historiographie littéraire (canonisation, rejet), transferts culturels en Europe (circulation des modèles, galanterie). Théâtre et spectacles (opéras, ballets, danse), arrière-plans sociologiques, esthétiques, anthropologiques et symboliques (sémiotique corporelle) du système de représentation entre Renaissance et Lumières.
Elle est Présidente du Centre de Recherches sur le Baroque (Internationaler Arbeitskreis für Barockforschung) de la Herzog August Bibliothek Wolfenbüttel (RFA).
D.O.
- Danseur, chorégraphe, théoricien de la danse et du ballet: Jean-Georges Noverre (1727- 1810), un artiste européen au siècle des Lumières, Musicorum N° 10/2011 (385 p.).
- Autour de la « Sophonisbe » (1669/1680) de Lohenstein [Um Lohensteins Sophonisbe], Wolfenbütteler Barocknachrichten, Wiesbaden, Harrassowitz, 2010, Heft 1/ 2 (102 p.)
- Maria Theresias Kulturwelt, Hildesheim, Olms, 2011 (302 p.).
Articles
- „Polémique et théâtre en Suisse. Les Totenfresser (ca. 1521) de Pamphilus Gengenbach“, in : Luther et la Réforme. Du Commentaire de l'Epître aux Romains à la Messe Allemande, dir. J-M. Valentin, Paris 2001, p. 326-352.
- «Le corps et le Diable – le Diable au corps ? De la transe à la danse, entre croyances, légendes et représentations (XVIe-XVIIIe siècles) », in: Cahiers d'Etudes Germaniques, N° 62 : Des diables et des spectres : croyances et jeux littéraires, éd. Françoise Knopper & Wolfgang Fink, 2012, p. 95-117.
- „Tanzen als Schule galanten Gebarens“, in: Galanterie. Ein Verhaltenskonzept in der Literatur der Frühen Neuzeit, éd. Ruth Florack & Rüdiger Singer, Berlin, W. De Gruyter, Edition Niemeyer (Reihe „Frühe Neuzeit“), 2012, p. 275-299.
- «Plaisir du corps ou salut de l'âme: il faut choisir ! La 'querelle des danses' autour de 1700», in: Glaubensformen zwischen Volk und Eliten. Frühneuzeitliche Praktiken und Diskurse zwischen Frankreich und dem Heiligen Römischen Reich, éd. Thomas Nicklas, Universitätsverlag Halle-Wittenberg, 2012, p. 145-158.
- „Entre cérémonial et spectacle: danser en Allemagne au XVIIe siècle“, in: L’âge de la représentation. L’art du spectacle au XVIIe siècle. Tübingen 2007 [=Biblio 17, vol. 174], p.145-155.
A paraître
- « Entre Humanisme et Réforme : Tobie sur la scène allemande », in : La figure de Tobie sur la scène de la Renaissance, Colloque Metz novembre 2013, à paraître, Berne, P. Lang, 2014 (dir. Alain Cullière).
- Du divertissement innocent à la volupté coupable: Le dangereux plaisir de la danse (XVIe-XVIIIe siècles), in: Le Plaisir: De la satisfaction des besoins vitaux aux délices de l’esprit et aux égarements de l’âme. Actes du séminaire de l'UMR, 2010, éd. Jean-Claude Colbus, à paraître (L'Harmattan).